Fifi D’Orsay (1904-1983)

  • Fifi D’Orsay

    Photographie de Fifi D'Orsay agrémentée d'une dédicace.

    Source : Collection Pierre Pageau

  • Fifi D’Orsay

    Le Petit journal, 16 octobre 1949, p.65

    Source : Bibliothèque et Archives nationale du Québec

  • Fifi D’Orsay

    Portrait photographique de Fifi D'Orsay.

    Source : Collection Pierre Pageau

  • Fifi D’Orsay

    Le Petit journal, 5 février 1939, p.18

    Source : Bibliothèque et Archives nationale du Québec

  • Fifi D’Orsay

    Source : Collection Pierre Pageau

  • Fifi D’Orsay

    Le Petit journal, 16 juillet 1950, p.58

    Source : Bibliothèque et Archives nationale du Québec

  • Fifi D’Orsay

    Le Petit journal, 30 octobre 1949, p.69

    Source : Bibliothèque et Archives nationale du Québec

  • Fifi D’Orsay

    Harold Murray et Fifi D'Orsay dans le film Women Everywhere (Alexander Korda, 1930).

    Source : Collection Pierre Pageau

  • Fifi D’Orsay

    Fifi D'Orsay dans The Girl From Calgary (Phil Whitman, 1932).

    Source : Collection Pierre Pageau

  • Fifi D’Orsay

    «Lobby card» du film Women Everywhere (Alexander Korda, 1930).

    Source : Collection Pierre Pageau

  • Fifi D’Orsay

    Source : Collection Pierre Pageau

Fifi D’Orsay, de son vrai nom Yvonne Lussier, est née en 1904 sur la rue Saint-André à Montréal. Dès 1929-1930, Yvonne Lussier gagne, à Broadway, puis à Hollywood, le titre de « French Bombshell ».

Sa première période de cinéma est la plus glorieuse. Entre 1929 et 1935, Fifi se voit confier des rôles importants dans dix-sept films, dont trois réalisés Raoul Walsh, deux par Frank Borzage, et un par Ernst Lubitsch. Elle est un sex-symbol, une sorte de Betty Boop en chair et en os, qui zézaye en imitant l’accent parisien. Dans un second temps, de 1937 à 1947, elle joue dans huit films, presque toujours de série B. Puis, de 1962 à 1968, elle fait de la figuration dans six films.

Entre 1950 et 1970, Fifi est très présente à la télévision, comme comédienne, mais aussi comme invitée d’émissions de variété. Elle se fait remarquer, une dernière fois, par son rôle dans Follies, en 1971-1972, sur Broadway. Entre ces périodes, elle revient à ses origines, c’est-à-dire le vaudeville, la comédie musicale et la radio. À la fin de sa vie, elle se consacre à la peinture et elle donne des conférences sur la religion.